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Sandygestif, merci !

Sobre, et pourtant ! Tribulations a Santa Cruz, Californie
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J'ai rencontre un con...

J'ai rencontre un con...
Quelqu'un qui se croit bien sous tous raports ou meme plus, qui pense etre mieux que la plupart des gens qui marchaient dans la rue en meme temps que nous lorsque j'ai eu le malheur d'aller me balader avec lui...
Quelqu'un qui ne peut s'empecher de critiquer les musiciens que nous croisions, les gens differents comme les punks ou les Rockabilly-like...
(Il faut dire qu'ici faut pouvoir etre ouvert d'esprit, et en plus c'est une ville Universitaire et Capitale des lesbiennes....le pauvre...).
Non, lui il veut un monde tout propre, faire fi de tout ca et retourner dans son Orange County qu'il aime tant car "la-bas c'est tout neuf"...
Tout ca alors que SC est une ville culturelle et ouverte sur le monde, les autres, les gens differents qui apportent bien plus a la "communaute"...
J'ai rencontre un con, qui pensait bien faire lorsqu'il me disait tout ce qu'il pensait, en fait il pensait m'epater avec ses histoires de radio truc machin...
Il est encore dans ce "schema" alors que lorsque j'y suis tombee dans ma jeunesse a 16 ans, j'y ai contribue en faisant des pubs, et quand meme, vu que j'aime ecouter la radio, j'en ai vite eu assez de contribuer a apporter des messages subliminaux et agressifs a des auditeurs prives d'harmonie...
Je lui ai quand meme vite dit que maintenant j'ecoute NPR (chaine genre France Inter, donc gouvernementale, pas de pubs, programmes de qualite), et KUSP (chaine locale de SC, qui justement retransmet des emissions de NPR suivant ce que ses auditeurs peuvent payer...budget...les cotisations sont renouvelees tous les 6 mois).
Et lui se plaind de gens comme Britney Spears alors que c'est le genre de "musique" qu'il passe a longueur de journee en bavant dessus, tout ca pour "tenir" des auditeurs en haleine...

J'ai rencontre un con, qui ne se remet pas en question...
C'est ma definition du CON...
Il est fort possible que je sois la conne de quelqu'un mais et vous, quelle est votre definition du con et qui est votre con ??

Auteur : Sandy, le Dimanche 31 Juillet 2005, 17:33 dans la rubrique Les Maux Pour Le Dire.

Ton avis

Dame Cloporte
01-08-05 à 05:54

Hum, je te vois venir ! Tu veux faire un diner de con, c'est ca ?
Des cons, je crois que j'en connais pas mal (pas forcement physiquement d'ailleur). Mais ceux qui croivent tout savoir et qui ont tords (parce que ceux qui savent tout et ont raison, je les aime bien en general, car ils ne sont pas arogants), ben ils m'enervent.
Alors, j'ai rencontre une conne (enfin, juste parce qu'elle m'a enerve, elle est peut etre tres bien en fait) c'etait ma caissiere de Wallmart: j'ai achete 4 paquets de chocolate chips cookies et elle me dit "ah ! Vous avez une soif de cookies en ce moment !". Je lui explique que mon mari mange des cookies au p'tit dej. Elle me regarde en froncant les yeux "ah, mais il devrais pas ! Il sait que le petit dej est le repas le plus important de la journee ?". De quoi je me mele ! J'ai pas insiste, et je suis partie...

 
KiCsuila ?
01-08-05 à 06:23

Re:

Walmart, quelqu'un a dit Walmart?  ;-)

Moi les cons, je les collectionne sur mon lieu de travail.  Le diner de con, c'est tous les jours de la semaine ... <soupir> 

Allez, bon WE  a tous.

Tomate Farcie


 
Sandy
01-08-05 à 11:07

Re:

Ha en voila une bonne petite histoire...
Tu sais, franchement je crois que tu peux pas trop t'attendre a mieux que ca en allant faire tes courses a Walmart...cela dit je veux pas trop generaliser...mais bon...
Tite question, tu n'as pas d'autres supermaches ou faire tes courses par hasard ??
Je veux dire, avez-vous un autre choix ??
Tomate Farcie et moi-meme sommes en haleine (je me permets Tomate hmm ??) de savoir si tu as un Trader Joe's ou quelque chose dans ce gout la...???
Comme disait Audiard, les cons, ils osent tout, c'est d'ailleurs a ca qu'on les reconnait...
Meditons...

Et Tomate, je t'ai laisse un message sur ton tel portable hier soir.
Au plaisir de t'entendre lorsque tu auras le temps et disponible hehe !
Au fait, tu as ecris je ne sais plus si j'ai chez moi ou chez toi, que tu ecoutes Nostalgie de temps en temps ?? vrai de vrai ?? moi jpeux pas...
Cela dit, si tu aimes MFM j'ai un copain qui est dj la-bas, ca lui ferait bien plaisir d'avoir une auditrice lointaine, j'essaye de l'ecouter de temps en temps...
C'est "exotique" pour moi maintenant haha...

Mais bon, tu en conviendras, FIP est vraiment la meilleure radio du monde !!!
Vive FIP, vive la musique pour les gens, pour le peuple, vous, nous !
Mais, je m'affole hehe...


 
Dame Cloporte
01-08-05 à 14:42

Re: Re:

Ben c'est pas un superstore le mien ! J'achete pas de bouffe la-bas sauf les cookies qui sont moins chers, ou si j'ai juste une boite de cereales et que j'ai la fleme d'aller dans un autre supermarche pour ca.
Mes courses, je les fait a Smith (superette classique) ou a Whole Food (surtout pour la viande et plus particulierement le poulet ! et le lait).
Pour en revenir a Walmart, celui ou je vais est bien et les gens qui y travaillent ne sont pas moroses. Les filles rigolent, tapent la causette et tout et tout ! Et ca ne fait pas force ! C'est juste que celle-ci a fait cette reflexion qui m'a enerve... Autrement, j'en suis contente.
Il faut dire qu'en general, j'y vais avec au moins Piti Ver, sinon les deux pupuces, et donc c'est "tiens, un sticker ! Non, deux ! Et un pour ta petite soeur !" "ooooh she's cuuuuuuuuuuuuute", "are you smiling to me ? Yes, you are !!!" etc, etc...

Pour Traders Joe, non y'en a pas ici. Y'en a un a Santa Fe, donc a une bonne demi heure... Un jour peut etre...


 
Sandy
01-08-05 à 15:07

Re: Re: Re:

Ha c'est vrai, tu as un Whole Foods, c'est super, un peu cher mais que veux-tu, quand on veut de la bonne nourriture de bonne qualite...
He oui, c'est vrai tout le monde ici, aux US est extra avec les enfants, parfois peut-etre un peu trop...je me souviens d'un billet du Piou a ce sujet...
Les Americains sont de grands enfants, ca a de tres bons cotes, mais ils sont aussi immatures...mais on ne peut pas tout avoir !




 
alberto
01-08-05 à 18:12

"Le temps ne fait rien à l'affaire", ... quand on est con on est con... Il est difficile de faire mieux que Brassens !

 
Sandy
02-08-05 à 13:49

Re:

Oh comme tu as raison Alberto, Brassens le grand, mes feres et soeurs le connaissent par coeur et je me sens quelque peu inferieure car pour je ne sais quelle raison j'ai des lacunes, en brassens...et pourtant...
Merci de cette belle et si vraie citation...

 
Chris
02-08-05 à 15:02

"quelle est votre definition du con"

Pour moi, un monsieur "je sais tout" mais qui ne sais rien faire d'autre que blablater, qui est arrogant et donneur de lecons. Aussi j'ai horreur de l'hyperactif qui est incapable de se concentrer sur quoi que ce soit et qui commence quelque chose sans jamais les terminer.

"qui est votre con ??"

houla, je commence par qui? :o)

 
Sandy
02-08-05 à 16:36

Re:

Ca me rappelle quelques personnes que je connais, mais encore une fois on est surement tous le con ou la conne de quelqu'un...
Dites-le nous si nous sommes vos cons, holala...je me lache...
Desolee mais j'avoue prendre un malin plaisir a parler plutot la langue d'Audiard que celle de Moliere parfois...je me defoule, je n'ai pas tellement l'occasion de parler Francais...enfin, ca pourrait etre pire...

 
KiCsuila ?
20-08-05 à 07:22

Re: Re:

Je ne saurai résister à cet échange sympathique.

Je vous copie colle un texte que j'ai écrit comme ça, une fois, après certaine soirée...

Excursion au zoo

ou

Une heure de ma vie chez les snobs

Moi, c’est définitif,

aux coquetelles rive gauche

je préfère un brave apéro entre copains !

Le pastaga-cacahouètes

a des vertus conviviales irremplaçables !

Et si nécessité doit vous faire fréquenter

ces lieux emplis de snobs,

vous ne pouvez vous empêcher de penser

que c’est vous qui êtes normal

en fréquentant des gens normaux !

Il m’est arrivé de me faufiler dans une présentation de livre, histoire de profiter de connaissances de ma famille, histoire de placer mon C.V. de journaleuse certes, mais je peux aussi travailler chez un éditeur !

L’observation de cette faune, je ne puis m’empêcher de vous la relater.

 

 

 

 

C

’est mon papa qui m’a demandé de le remplacer à la présentation d’un superbe livre à laquelle il était invité. L’éditeur, qu’il connaissait, coauteur de plus de ce livre, pourrait peut-être m’être de quelque utilité.

Donc je prends ma voiture, pas le train, l’invitation au cocktail est de 18 à 21 heures, pas envie de revenir trop tard par le train, pour parcourir les quatre-vingt-dix kilomètres me séparant de la capitale.

 

Mon repérage est fait, facile, les quais, le Pont-Neuf, la rue donne presque en face, sur la Seine. Ce vieux Paris de la rive gauche, ces ruelles qu’Haussmann a négligées à la faveur du percement du boulevard Saint-Germain...

Oui j’aime ce vieux Paris et y vaquer avec en tête quelques souvenirs, quelques récits d’un autre temps, frustre il est vrai, mais certainement plus authentique qu’aujourd’hui...

Mais que vois-je en longeant cette petite rue ?

Des galeries de peinture, alternant avec des marchants d’objets d’art, que reste-t-il des librairies qui... disparues ! Des « boutiques », espèces de salons tout de blanc plâtrés, aux éclairages halogènes agressifs, avec un bellâtre au mitan de quatre machins tarabiscotés aux étiquettes faramineuses, prenant des mines en discourant sur son portable. Quand ce sont des femmes, on est carrément en droit de se demander ce qu’elles vendent exactement.

 

Et je tombe en arrêt.

Là, sur le trottoir en face.

Une galerie d’art, certes, mais qui a mis à jour les poutres et solives séculaires. Enfin un lieu qui ressemble à quelque chose, quelque chose comme de la fidélité.

Mon cœur bat.

J’en prends plein les yeux.

Si j’avais le temps j’entrerais dans ce refuge.

 

 

Mais bon c’est écrit dix-huit heures.

Je ne sais pas comment je vais reconnaître M. de B. et sa fille C., pourtant décrits par mon père.

 

Je passe sous un porche pavé, que ces pavés sont doux à mes hauts talons, et j’entre, suivie de près par un vieux monsieur.

Une demi-douzaine de personnes parlent là.

 

Tac ! Un flash dans la figure ! Un confrère mitraille ! Je ne sais pas de quel canard il est, mais ils doivent les sélectionner pour qu’ils se confondent avec l’objet de leurs reportages. Tronche de premier de la classe, une musaraigne en costard. Lui dirai pas que je suis journaliste moi aussi oh non.

 

Le voilà qui s’enquiert : « Vous êtes ensemble ? » auprès du vieux monsieur et moi-même. Ah mais non ! Tant pis, il nous prend en photo ensemble, souriez s’il vous plaît, chuis un peu gênée moi. Je dis au vieux monsieur : « Voyez-vous, nous devons avoir des faciès intéressants ! » ce qui le fait sourire. C’est vrai qu’il a une bonne tête mais ensuite je le perdrai de vue.

 

Personne, évidemment, ne fait attention à moi !

Je monte à l’étage, histoire de repérer les vécés, en profite pour regarder une partie de l’exposition de gravures anciennes dont la reproduction fait l’objet dudit livre.

On me propose une coupe, à laquelle je préfère un verre de jus de fruit, j’ai à rouler ensuite moi.

 

En descendant, je constate que l’endroit s’est empli.

Vu de haut, cela frôle le club du troisième âge, les rares quinquas au milieu passent pour de jeunes filles.

Cette femme que j’ai repérée doit être Mlle C. de B.

Je me présente.

Ça doit être ça.

Aucune confirmation d’ailleurs.

Trois mots de conversation et une autre invitée s’enquiert, auprès de mon interlocutrice, de la présence ou non d’un vestiaire.

Moi, tout sourire : « Ah oui, un vestiaire serait une bonne idée, il fait très chaud !

– Oui mais, me répond-elle, c’est réservé aux gens qui restent jusqu’à 21 heures »

Ça c’est de la claque !

Vlan en pleine poire !

Je dérange ? Déjà ?

 

 

 

Y a-t-il des humains dans la salle ?

 

 

Heureusement que j’ai toujours mon manteau sur moi.

Mes mains dans les poches se crispent. Envie de pousser une gueulante, de fuir, de, de...

 

Bon moi je veux surtout causer au papa.

Mais il est débordé.

Tout le monde le sollicite.

Le confrère musaraigne mitraille tous ceux qui lui parlent, et ça s’embrasse, et ça se congratule, y en a qui se connaissent ici.

 

Bon allons voir les gravures à l’étage inférieur.

Je me mets en remorque, l’air de rien, de la visite guidée faite par un monsieur que je subodore fortement être le coauteur, déduction personnelle non exemptée d’erreur.

 

Des cartes anciennes de l’Europe, originaux datant des XV et XVIe siècles, m’accrochent la rétine. Je me régale en cherchant à reconnaître frontières et États, en compagnie d’une dame très XVIe, mais arrondissement, néanmoins sympathique.

Premier contact humain positif.

 

Mon verre de jus de fruit dans un estomac vide commence à en agresser les parois. Un en-cas solide serait le bienvenu. Il y a bien, de-ci de-là, dans de grandes coupelles mâtinées cache-pot, des petits objets aux bords arrondis, ronds carrés ou oblongs, rouges et ocre, vernissés... J’ai pas trop envie de bouffer de la pâte à sel moi...

Ce n’est pas l’endroit où on puisse trouver la cacahouète des familles ! Trop vulgaire ça...

J’en croque tout de même deux ou trois. Mangeable...

 

Je remonte au rez-de-chaussée. Ah ! La foule des grands jours ! C’est vrai, quand on lit « de dix-huit à vingt-et-une heures », arriver à dix-huit heures pétantes est d’un désuet, très chèèèèèère !

Faut jouer des coudes, se faufiler entre les mémés aux cheveux bleus. M. de B. est toujours sollicité et je voudrais bien le saluer de la part de mon père.

 

Cela fait déjà un quart d’heure qu’une envie irrésistible de fuir cet endroit m’étreint...

Alors j’observe cette faune.

Assez hallucinant. À voir et à entendre.

Cette dame, avec son manteau de renard argenté, je ne vous dis pas les millions qu’elle a sur le dos, dont le haut col relevé est resserré par un cache-nez de grosse laine rouge ! Surprenant. Elle se retourne : un bonnet de laine bleu marine jusqu’aux sourcils !

Heureusement que j’ai toujours mon manteau sur moi. Je le resserre, mon chemisier de soie gris perle ouvert sur un bustier de dentelle noire semble faire tache d’un seul coup...

Quart de tour gauche : ça doit être la mode, voilà un cache-nez bleu sur un col de manteau de vison cette fois...

 

Des dames, au milieu de la foule, papotent leur verre à la main. Tendons l’oreille pour avoir leur opinion sur l’exposition et le livre. Raté, elles parlent de leurs ennuis matrimoniaux.

D’autres en discourent, mais je dois être complètement demeurée, ou alors c’est une autre langue, je comprends rien... Personnellement j’appelle ça de la branlette intellectuelle, snob de surcroît...

 

Je retourne observer d’autres cartes anciennes, vraiment hallucinantes, j’avais jamais vu l’Europe le Nord en bas !

J’engage la conversation avec un monsieur d’une soixantaine d’années, propre sur lui, pas de cache-nez incongru, la conversation est aimable autour de cette carte.

Deuxième contact humain positif.

L’ennui, tout de même, est que ce monsieur propage une haleine à détruire un essaim de frelons...

 

Tous ces gens pomponnés, aux allures hautaines, dont la conversation de snob artistique et intellectuel m’ennuie profondément, il y en a certains, faut pas approcher trop près, l’odeur sui generis est vraiment trop agressive. Pourtant il m’avait semblé comprendre qu’il existait des déodorants de poche... D’haleine aussi d’ailleurs...

 

Ah ! L’hôte semble être libéré !

Je m’avance, il me serre la main tout sourires, avant même que je me présente, un bon point pour lui.

Ah, votre père n’est pas venu, eh non vous savez, mais...

Et je lui parle de mon père, de ce manuscrit de lui que je travaille en ce moment, le monsieur est toute ouïe, enfin un être humain... quand il voit entrer une connaissance à lui !

 

Et il me plante là, sans même une excuse ou un au-revoir...

 

Ça s’appelle prendre un vent ça...

Et moi qui avais gentiment préparé et mis en page pour mon papa un petit topo sur son prochain bouquin, histoire de distribuer...

Ne parlons pas de mon C.V., la dizaine d’exemplaires dont je me suis munie restera aussi au fond de mon sac...

Je file aux toilettes, moins pour le petit besoin que pour regarder discrètement ma montre : dix-neuf heures. Elle avait raison la petite dame, je ne tiendrai pas deux heures de plus.

Même pas deux minutes.

 

Je me casse je me tire je me barre.

Personne ne me dira bye bye.

Je ne manquerai à personne.

 

Mon arrivée dans la rue est saluée par un concert de klaxons.

J’ai vraiment hâte de retrouver mon petit village...

 

 

Catherine Rousseau


 
Sandy
23-08-05 à 12:43

Re: Re: Re:

Hmmm voila un recit epic !
La vie Parisienne, la vie selon les regles, certaines regles, qui sont obscures et pourtant bien presentes...
Je dis ca mais ayant moi-meme vecu "dans" Paris longtemps, j'ai une tendresse pour Paris malgre tout, tout tout...
Mais il faut vraiment parfois decouvrir certains microcosmes pour le croire...
Merci de partager cette experience...

 
KiCsuila ?
27-03-08 à 18:24

Re: Re: Re:

Hello,

Moi malheureusement les cons font partie de la famille et de la belle famille, ce qui est pire car je ne peux les éviter malheureusement !
Donc, ma définition est celui qui fout sa merde tous les jours, qui parlent sur le dos des autres et qui répète pour encore foutre la merde, mais un jour ça va lui tomber dessus.
Aujourd'hui, j'en ai tellement marre de ces cons que je vais habiter à 800 kms de tous ces cons. OUF CA VA FAIRE UN BIEN FOU

Une désespéree de la famille avec qui il faut composer et qui pense que de loin elle les supportera mieux.

 


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